Je m’apprête à vous raconter la réalisation d’un fantasme avec mon ex-petite amie. À cette époque, il y a environ trois ans, je sortais avec un joli brin de fille depuis quelques mois. Elle n’était pas très grande mais possédait d’autres atouts non négligeables : brune, les yeux verts, ses seins étaient fermes et de bonne taille, ses fesses rebondies, l’image même de la féminité.

Elle était ma première histoire sérieuse et, je l’avoue sans honte, elle m’avait dépucelé d’une façon rêvée, pourtant j’avais déjà passé quelques heures à faire l’amour en direct à une fille sexy, à la fois tendrement, avec sensualité, et naturellement. Depuis, je vivais avec elle beaucoup de mes fantasmes. Je connaissais alors une frénésie sexuelle, trop longtemps réprimée, qui l’épuisait régulièrement.

Ce soir là, nous nous préparions pour une soirée au théâtre avec des amis à elle, étudiants. J’étais un fervent adepte des petits jeux érotiques, mis en pratique dès qu’ils me passaient par la tête. Aussi, ne fut-elle qu’à moitié étonnée quand je lui demandai de me donner sa culotte. Elle portait une robe orange, qui lui moulait la poitrine et la rendait plutôt désirable. Elle chipota un peu, mais devant mon insistance, elle s’exécuta.

Elle remonta la robe et descendis une jolie culotte en dentelle à ses chevilles. Je pus admirer au passage son sexe et la végétation pubienne environnante. Je récupérai le morceau de tissu, le plaçant dans une de mes poches, où il masqua la bosse naissante dans mon jean.

Pour la remercier de sa docilité, je l’embrassai avec force. Ma langue tournait dans sa bouche de plus en plus fermement. Je ne pus empêcher mes mains de remonter le long du dos, puis de descendre flatter la croupe de ma petite jument. J’adorais son cul et j’aimais le lui faire savoir. Je tirai sur la robe doucement et réussis après quelques secondes à faire ressortir les fesses nues de ma compagne. De plus en plus excité, je pétrissais la croupe. Au bout d’un instant, je retirai ma langue de sa bouche et la regardai droit dans les yeux. D’une légère pression sur ses deux épaules, je l’agenouillai à mes pieds. Je sortis alors mon sexe dressé et lui demandai fermement de me sucer. Elle posa une main à la base de mon gros pieu turgescent et me masturba tout en portant ses lèvres sur mon gland. J’appréciai la manoeuvre mais je trouvais qu’il fallait que je m’impose un peu plus. Je pris sa chevelure à pleine mains et guidai sa tête sur ma hampe à un rythme un peu plus rapide. Elle se laissa aller. Puis, je fis descendre sa bouche jusqu’à la disparition totale de mon chibre. Je la maintins dans cette position, ce qui lui déplut vivement. Elle tenta de relever la tête, mais j’étais le plus fort. Humiliée, elle poussa un soupir et se résigna à sa condition de petite suceuse. J’aimais sentir son impuissance et sa résignation autant que mon gland au fond de sa bouche. Ce bâillonnage forcé me conduisit au bord de l’explosion, lorsque la sonnerie retentit. Elle eut juste le temps de se passer de l’eau sur son visage, que j’avais maculé de longues coulées blanches poisseuses.

Quelques minutes plus tard, nous assistions à une représentation de Phèdre par une troupe amateur. Malgré mon amour des lettres, mon intérêt déclina. Mes pensées se reportaient systématiquement sur l’entrejambe de ma voisine, et malgré la proximité de ses amis, je me décidai à glisser ma main sous la robe. Ma copine me regarda d’un air réprobateur mais une lueur dans ses yeux m’incita à continuer. Mes doigts lui caressaient maintenant la cuisse gauche. La douceur de la peau m’électrisa. Je remontai doucement. Sa main essaya de me stopper. Je croisai une nouvelle fois son regard. On aurait dit une biche effarouchée. Je me fis plus brutal sans exagérer à cause du monde autour de nous. Elle céda et me libéra le passage. Je m’attaquai alors à ses lèvres charnues.

Elle étouffa un soupir. Ma caresse se fit plus pressante et la petite garce commença à mouiller. D’un doigt expert, je dénichai le clitoris et, en me contorsionnant discrètement sur le siège, je réussis à le polir amoureusement. Les voisins de derrière devaient commencer à se douter de quelque chose !!!

La respiration de la belle s’accélérait. Je décidai alors de plonger mon majeur dans sa chatte. Elle réprima un soupir. Je m’approchai de son oreille et lui ordonnai, dans un murmure, de poser sa main sur mon sexe. Elle put ainsi sentir à travers mon pantalon mon excitation. L’entracte survint alors.